Londres saturé (Internationaux de Wimbledon?) d'où ce séjour improbable dans cette usine hôtelière.
Première chambre à un étage fumeur (je ne savais même pas que ça pouvait encore exister). Sur mon refus catégorique de dormir au fond d'un cendrier, on me trouve (fort aimablement d'ailleurs) une autre chambre au 26e étage (vue superbe sur Hyde Park, quoiqu'au travers de rideaux déchirés), mais ne méritant apparemment pas d'être dotée d'une salle de bains, mais seulement d'une minuscule salle de douche. Surtout non indépendante, puisque partie d'une suite plus grande, dont elle n'est séparée que par une porte en contreplaqué, laissant abondamment passer lumière et conversations.Fort heureusement, le couple américain voisin, plus que clairement identifiable, n'était ni en voyage de noces ni en instance de divorce, et donc raisonnablement discret.
A noter un petit déjeuner buffet tout à fait splendide et de l'eau minérale et des fruits dans la chambre
En conclusion, un Hilton 5*, ça n'existe pas, ou bien ça s’appelle Waldorf Astoria.